L’Institut Confucius des Pays de la Loire est de nouveau au programme de Made In Angers cette année !
Nous recevons du grand public mais également des groupes et des scolaires afin de vous présenter et de vous expliquer le fonctionnement de notre Institut.
Nous vous y accueillerons avec grand plaisir !
L’inscription est obligatoire, veuillez cliquer sur l’image juste à votre gauche pour y procéder.
____________________________________________________________________________
____________________________________________________________________________
Venez nous rencontrer aux dates ci-dessous :
- 23 février : 14h30 (grand public)
- 25 février : 14h30 (grand public)
- 2 mars : 14h30 (grand public)
- 3 mars : 14h30 (grand public)
- 4 mars : 14h30 (grand public)
- 11 mars : 14h30 (groupes & scolaires)
- 18 mars : 14h30 (groupes & scolaires)
Quelques conseils pratiques :
Port du masque obligatoire pour les participants à partir de 11 ans.
Port du masque obligatoire pour les participants à partir de 11 ans.
Durée de la visite : de 1h00 à 1h30
Les visiteurs Made in Angers doivent respecter le protocole sanitaire, mis en place dans chacune des entreprises, et en vigueur au moment des visites.
Un projet pensé durant le confinement 2020 qui a abouti à la production de 18 vidéos dévoilées. Découvrez les parcours des enseignants de chinois des Instituts Confucius par une vidéo et testez vos connaissances en langue chinoise via le petit quiz !
C’est une émission audiovisuelle bimensuelle qui présente, fait découvrir et montre la Chine, sa culture, sa langue et les personnes qui y vivent, conçue depuis Shanghai et lancée avec le concours du Réseau des Instituts Confucius de France !
Laoshu, ou « Vieil Arbre » en chinois, de son vrai nom Liu Shuyong, représente parfaitement la Chine d’aujourd’hui, un pied dans la tradition, un autre dans le XXIe siècle. Professeur à l’Institut des médias et de la culture de Pékin et critique d’art réputé, il poste sur son blog, chaque jour depuis 2011, une peinture accompagnée d’un poème. Ses abonnés se comptent par centaines de milliers.
Le personnage qui habite le “monde simple et tranquille” de Laoshu flâne le long des chemins de campagne, s’endort sous un arbre, pêche à la ligne, rêve dans sa chambre et se livre à des activités banales d’un œil subtilement railleur. Un “double littéraire” de l’auteur qui, s’il s’émerveille en promeneur solitaire devant la beauté de la nature, n’en est pas moins fin observateur de la société chinoise dont il ne se prive pas de moquer les excès. Il est ce flâneur désinvolte, ce rêveur malicieux qui prétend avec impertinence : “ en cette vie, je n’obérai qu’aux fleurs”. Il est aussi ce poète excentrique et nonchalant qui aime paresser longuement en caressant son chat et qui nous réconcilie avec nous-mêmes des quelques avanies et chagrins de l’existence.
